VATICAN : LE PAYS DES "PAPES DE ROME"!? LE PAPE DE ROME : DéFILéS ET ACCOLADES DE RESPONSABLES RELIGIEUX ET DE ROIS !!! LE VATICAN à L'ONU !

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Le Vatican, en forme longue l'État de la Cité du Vatican, est un pays d'Europe. Il s'agit du support territorial du Saint-Siège enclavé dans la ville italienne de Rome. En 2012, il compte 832 habitants sur une superficie totale de 0,44 km², ce qui en fait le plus petit État au monde.

La colline du Vatican est déjà mentionnée sous la république romaine. De nos jours, le Vatican est la représentation temporelle du Saint-Siège et de l'ensemble des institutions de l'Église catholique romaine : l'État de la Cité du Vatican est, lui, créé le 11 février 1929 aux termes des accords du Latran, signés par l'Italie représentée par Mussolini et par le Saint-Siège représenté par le cardinal Gasparri.

Le Vatican, important site archéologique du monde romain, situé sur la colline du même nom, est le siège de la papauté et du monde catholique. Selon la tradition catholique, il remonte à saint Pierre lui-même, comme premier évêque de Rome, et est le centre officiel de tout le christianisme depuis l'empereur Constantin (ive siècle), mais ce point de vue n'est pas forcément partagé par tous les historiens ni par toutes les confessions chrétiennes4.

Le pape actuellement régnant est François, élu le 13 mars 2013, à la suite de la renonciation de Benoît XVI le 28 février de la même année.

Histoire

La Cité du Vatican actuelle peut être considérée comme le reliquat des anciens États pontificaux. L'origine ancienne de ce territoire des 'États pontificaux' est une accumulation de donations foncières reçues par les papes successifs, depuis l'époque constantinienne jusqu'à celle du royaume lombard (avec par exemple la donation de Sutri). Le pape s'est ainsi trouvé placé à la tête d'un important domaine foncier connu sous le nom de patrimoine de Saint-Pierre, sous suzeraineté byzantine.

Quelques villas, bâties autour de « jardins impériaux » y furent propriété d'Agrippine. Le fils de cette dernière, l’empereur Caligula (37-41 ap. J.-C.), y fit réaliser un cirque privé, le Circus Vaticanus,

dont l'actuel obélisque du Vatican constitue un des seuls vestiges.

C’est là, ainsi que dans les jardins adjacents, qu’eut lieu le martyre de nombreux chrétiens de Rome à l’époque de Néron (54-68). On dit que Saint Pierre fut enterré au nord de ce cirque, dans une nécropole qui longeait une route secondaire, la via Cornelia. Sur le lieu de sa sépulture, l’empereurConstantin fit édifier entre 326 et 333 une basilique grandiose à l'emplacement du site de l'ancien cirque romain qui fut alors démoli. L'édifice a été remplacé par la basilique actuelle au cours des xvie et xviie siècles. 

Politique

Articles connexes : Vatican durant la Seconde Guerre mondiale et Bombardement du Vatican.

Articles détaillés : Politique au Vatican et Saint-Siège.

Le pape dispose du pouvoir absolu (exécutif, législatif et judiciaire). Le pouvoir exécutif est délégué à un gouverneur nommé qui est également chargé de la représentation diplomatique9[réf. nécessaire].

Le Vatican est une monarchie absolue et élective : le pape est élu à la majorité qualifiée (2/3 des voix) lors du conclave, et règne à vie (Ad vitam æternam) en principe, mais il peut aussi renoncer, cette possibilité a été exploitée par Benoît XVI en 2013. Il peut également se définir comme une théocratie dans la mesure où son existence, son fonctionnement et son action sont dominés par un impératif religieux.

C'est le Saint-Siège, organe de gouvernementde l'Église catholique romaine, et non l'État de la Cité du Vatican, qui fait l'objet d'une représentation internationale.

Il dispose d'un siège d'État non membre observateur à l'ONU.

Le Vatican a exprimé le désir de rejoindre l'espace Schengen11.

Diplomatie

Article détaillé : Politique étrangère du Vatican.

 

Sceau de l'aumônier du pape

La diplomatie du Saint-Siège est l'activité de négociation internationale de l'Église catholique. Avant la Réforme et le siècle des Lumières, la papauté a exercé à plusieurs reprises des fonctions d’arbitre entre les souverains chrétiens européens. La diplomatie du Saint-Siège trouva sa première expression formelle véritable vers la fin du xie siècle quand le pape commença à envoyer des légats vers les différents royaumes de la Chrétienté. Il s’agissait de permettre au clergé résident d’avoir une plus grande marge de manœuvre à l’égard des autorités civiles locales.

À partir du xvie siècle, les premières nonciatures apparaissent, avec à leur tête un archevêque venant de Rome. Fragilisée par la Réforme et le développement de la philosophie des Lumières, l’autorité du Saint-Siège est contestée, mais celui-ci reste toujours présent sur la scène internationale. 

De ce fait, selon la Convention de Montevideo,

le statut juridique international du Vatican n'est, d'après certains juristes, pas celui d'un État14,15, mais plutôt celui d'un sujet international analogue à une organisation internationale telle que l'ONU16.

À ce titre, les ambassades (nonciatures) et propriétés du Saint-Siège hors-les-murs ne relèvent pas de l’État du Vatican, mais de la seule autorité du Saint-Siège, manifestée à travers ses institutions (regroupées dans la Curie romaine siégeant au Vatican) et son souverain.

Un autre poste financier non négligeable est le denier de Saint-Pierre qui a avoisiné les 50 millions d'euros en 2002, même si une partie de cette somme seulement est affectée au budget du Vatican [réf. nécessaire]. Son origine remonte au viiie siècle, quand les Anglo-Saxons commencèrent à envoyer une contribution annuelle au pape [réf. nécessaire]. Cet usage s'étendit ensuite aux autres pays d'Europe et a été reconnu officiellement par le pape Pie IX le 5 août 1871 dans l'encyclique Sæpe venerabilis.

Depuis le 1er janvier 2013, la Deutsche Bank, qui gère les paiements monétiques au sein de la Cité vaticane, s'est vue dans l'obligation de désactiver l'utilisation de tous ses terminaux électroniques sur ordre de la Banque d'Italie, car le Saint-Siège n'a pas encore atteint les standards requis au niveau international contre le blanchiment d'argent20. Les membres du comité Moneyval (un comité d'experts dépendant du Conseil de l'Europe qui repère notamment les blanchiments des capitaux et les sources occultes de financement du terrorisme) estiment en effet que le Vatican remplit à peine 9 des 16 recommandations clés et lui attribuent 7 mentions négatives21. Le Vatican a lancé depuis 2010 une série de réformes à la suite d'importants scandales financiers ayant impliqué sa banque, l'Institut pour les œuvres de religion (IOR) et qui gère en 2011 plus de 6,3 milliards d'euros répartis en 20 772 comptes, dont 37 des membres de la famille du pape, 236 de cardinaux1 604 d'évêques et 128 de monastères, couvents ou abbayes22. L’IOR s’est trouvé au cours des années au cœur de nombreux scandales notamment sous le mandat de Mgr Paul Casimir Marcinkus, ex-directeur de la banque du Vatican. L’établissement était le principal actionnaire du Banco Ambrosiano, banque accusée dans les années 1980 de blanchiment d’argent de la drogue pour la mafia. En mai 2012, l’IOR refait parler d’elle avec le limogeage de son président Ettore Gotti Tedeschi23. Les États-Unis ont ajouté en 2012 le Vatican à une liste de 68 États dont la situation est jugée préoccupante, selon le rapport annuel du Département d'État américain sur la lutte contre le trafic de drogue dans le monde24.

Le pape François tend à sortir l'économie du Vatican des réseaux mafieux, et a d’ailleurs fait plusieurs déclarations à ce sujet.

Culture

Article détaillé : Culture du Vatican.

En tant que siège du catholicisme, le Vatican a une influence culturelle très importante. Il a aussi une activité culturelle propre, comme sa radio, Radio Vatican, qui émet en plusieurs langues.

Les onze musées du Vatican possèdent de riches collections d'art sacré et profane ainsi que des antiquités étrusques et égyptiennes et des œuvres de peintres, dont Michel-Ange. Ils ont été fondés par Clément XIV au xviiie siècle.

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Politique étrangère du Saint-Siège

La diplomatie du Saint-Siège est l'activité de négociation internationale de l'Église catholique romaine.

Son rôle d’acteur international est aujourd’hui pleinement reconnu depuis les accords de Latran : on attribue au Saint-Siège un statut égal à celui des autres États, même s’il n’est dans les faits qu’un gouvernement. C’est, à l’heure actuelle, la seule autorité religieuse disposant d’un tel statut en droit international public.

  • . Le pape en est le souverain de droit absolu et divin, concentrant entre ses mains les trois pouvoirs législatif, exécutif et judiciaire. Selon les mots mêmes de Jean-Paul II, cet État existe comme garantie de l'exercice de la liberté spirituelle du Siège apostolique (autre nom du Saint-Siège), et donc comme moyen d'en assurer l'indépendance réelle et visible dans son activité de gouvernement en faveur de l'Église universelle. Plus prosaïquement, Pie XI le définissait comme « un petit lopin de terre bien utile au Saint-Siège »[réf. nécessaire].

L’ambition du Saint-Siège, au début du xxe siècle, d’obtenir une reconnaissance internationale de sa souveraineté entière, se concrétise avec les accords du Latran en 1929 entre l’État italien et le Saint-Siège. Le traité définit encore à l’heure actuelle le statut international de la papauté.

Deux articles sont à cet égard essentiels :

  • Art. 2 – « L’Italie reconnait la souveraineté du Saint-Siège dans le domaine international comme un attribut inhérent à sa nature, en conformité avec sa tradition et avec les exigences de sa mission dans le monde. »
  • Art. 3 – « L’Italie reconnait au Saint-Siège, la pleine propriété, le pouvoir exclusif et absolu et la juridiction souveraine sur le Vatican comme il est actuellement constitué avec toutes ses dépendances et dotations, créant de la sorte la Cité du Vatican […]. »
 
La cité du Vatican est enclavée dans Rome, en Italie.

L'État ainsi créé par le traité est d'abord un État-symbole, tant est modeste son territoire, mais aussi un État-support placé au service d’une organisation supranationale,

 Simultanément, ce texte donne au dirigeant de cette « multinationale des âmes » qu'est l'Église le rang et les prérogatives d’un chef d’État.

La situation créée par le traité est finalement assez ambiguë. Une sorte d’union spécifique existe en la personne du pape, qui dispose sur le plan international à la fois d’une souveraineté spirituelle et d’une souveraineté territoriale. Ces deux souverainetés s’exercent par les mêmes organes, ceux du Saint-Siège.

Aussi, lorsque le Saint-Siège exerce une activité dans le cadre du droit international, il convient de distinguer les cas où il agit en tant qu’organe de l’Église catholique, et ceux où il est l’organe de la cité du Vatican. Par exemple, lorsqu’il signe un concordat avec un État, il s’agit évidemment des relations entre un État et l’Église catholique.

Par contre, s’il signe des conventions d’ordre purement technique (Union postale universelleUnion internationale des télécommunications, etc.), il agit en tant qu’organe suprême de la Cité du Vatican. Enfin, lorsque le Saint-Siège exerce son droit de légation actif et passif (accréditer des représentants diplomatiques d’autres États et envoyer les siens les nonces apostoliques), il agit au titre de sa double souveraineté : il s’agit d’assurer les relations entre les États d’une part et le chef suprême de l’Église catholique et la cité du Vatican d’autre part.

La souveraineté d’ordre territorial est cependant marginale. Dans la plupart des cas, c'est la souveraineté spirituelle qui est exercée, donc relevant du Saint-Siège.

Les diplomates du Saint-Siège sont en effet avant tout les représentants de l’Église catholique, et l’aspect territorial n’est qu’un symbole et la garantie d’un libre fonctionnement de l’Église.

Ainsi les accords de Latran donnent de façon unique une dimension étatique à une confession religieuse lui permettant d’agir directement sur la scène internationale.

Dans les débats de juristes, il est en effet ressorti que c’est bien

en tant que puissance spirituelle,

et non en raison de son pouvoir temporel,

que le Saint-Siège est intégré

dans les relations internationales.

La papauté est une véritable institution internationale qui joue un rôle à la fois spirituel et temporel dont la légitimité est un avantageux héritage historique.

Par l'indépendance que lui assure son assise territoriale vaticane,

le Saint-Siège a pu développer une diplomatie particulièrement active, tant par ses efforts de médiation dans différents conflits

que par ses relations avec d’autres états ou organisations internationales.

Structures et relais diplomatiques

 

Le pape François reçoit le Président des États-Unis, Barack Obama le 27 mars 2014.

Le Siège apostolique est l’autorité suprême dans l’Église. Son titulaire est le pape. Il est entouré d’un véritable gouvernement, la curie. De par son statut particulier, c’est donc le Saint-Siège qui assume les relations diplomatiques et non l’État du Vatican. Cette diplomatie passe par une organisation institutionnelle importante. Au sommet de la curie romaine se trouve la secrétairerie d’État, dirigée par leCardinal secrétaire d'État. Celui-ci, sous l’autorité du Saint-Père, fait figure de chef de gouvernement et dirige aussi l’édifice diplomatique. Le secrétaire d'État est tellement influent que certains papes, comme Pie XII durant les « temps difficiles » du fascisme, préférèrent en occuper eux-mêmes la charge.

Les agents de la diplomatie pontificale sont des prélats de toute nationalité formés à l’Académie pontificale ecclésiastique, l’école de la diplomatie vaticane, ainsi que de nonces et des laïques qui interviennent au nom du Saint-Père.

Le réseau diplomatique du Saint-Siège couvre quasiment l’ensemble de la planète. Le Saint-Siège se montre en effet désireux d’établir des relations avec tous les États, quel que soit leur régime politique ou la conviction religieuse de leurs citoyens.

Sans même aborder l’influence du Saint-Siège par le biais des Églises à travers le monde, on peut distinguer plusieurs courroies de transmission de la puissance de celui-ci. Le Saint-Siège est membre de la « famille des Nations unies » (c’est-à-dire l’ONU et les institutions spécialisées qui lui sont rattachées : FAOUNESCOAIEAOITUNHCROMS, etc.)

Il faut rappeler que c’est bien le Saint-Siège, c’est-à-dire une autorité spirituelle, et non la Cité du Vatican qui est représenté. Cette qualité d’autorité spirituelle est-elle compatible avec une présence très large dans les organisations internationales ? En fait au statut de membre d’une organisation internationale, le Saint-Siège préfère généralement celui d’observateur permanent. Il n’a pas le droit de vote, mais peut assister à toutes les réunions, consulter la documentation s’y référant, faire circuler des mémoires et même être invité à prendre la parole, toutes possibilités qui sont adaptées au but poursuivi par l’Église catholique d’apporter aux débats une dimension spirituelle et morale. C’est donc une position d’insertion dans les relations internationales, tout en étant désengagé et avec le recul nécessaire. Ce privilège unique accordé à une religion de pouvoir siéger au même titre qu'un État est néanmoins contesté par de nombreuses organisations non gouvernementales.[réf. nécessaire]

 
Les antennes de Radio Vatican vues depuis la basilique Saint-Pierre

Le Saint-Siège a une véritable capacité d’influence grâce à Radio Vatican, qui couvre le monde entier en quarante langues différentes (de l'arabe à l'espéranto), avec des programmes religieux, mais aussi culturels et musicaux. Peu écoutée dans les pays de tradition catholique, elle établit et maintien des contacts précieux avec les petites communautés chrétiennes isolées.

Il existe aussi les organisations internationales catholiques (OIC), associations composées de clercs et de laïcs, qui couvrent les domaines d’activité les plus divers, notamment des organisations à caractère humanitaire et caritatif ou bien des groupements sociaux et professionnels. Grâce à ce réseau, le Saint-Siège dispose d’un instrument précieux pour agir tant au plan des organisations intergouvernementales qu’au plan des diverses activités internationales qui ne relèvent pas forcément d’une institution déterminée. Les OIC servent à la fois de témoins et de vecteurs d’influence catholique auprès de milieux comme celui de la communication ou de pôles de réflexion sur les problèmes de la paix ou du développement. Elles pourront prendre parfois des positions plus « politiques » (contre la guerre du Viêt Nam, contre la torture des prisonniers politiques auBrésil...) alors que le Saint-Siège est astreint à plus de prudence.

« Le pape, combien de divisions ? » aurait répondu Staline en 1945 à Winston Churchill qui lui demandait de respecter les libertés religieuses dans l'Europe centrale que l'Armée Rouge occupait1.

Relations multilatérales

Le Saint-Siège bénéficie du statut d'État membre dans 11 organisations internationales intergouvernementales.

NomSigleSiègeDate d'adhésion
Agence internationale de l'énergie atomique AEIA Vienne 1957
Comité international de médecine militaire CIMM Bruxelles 1949
Conférence des Nations unies sur le commerce et le développement CNUCED Genève  
Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés HCR Genève  
Institut international pour l'unification du droit privé UNIDROIT Rome 1945
Organisation internationale des institutions supérieures de contrôle des finances publiques INTOSAI Vienne  
Organisation pour l'interdiction des armes chimiques OIAC La Haye 1999
Organisation internationale pour les migrations OIM Genève 2011
Organisation mondiale de la propriété intellectuelle OMPI Genève 1975
Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe OSCE Vienne 1975
Organisation du traité d'interdiction complète des essais nucléaires OTICEN Vienne 2001

De plus, le Saint-Siège participe à de nombreux organes des Nations Unies avec le statut d'État observateur.

NomSigleSiègeDébut de la participation
Organisation des Nations unies ONU New York 1964
Office des Nations unies à Genève ONUG Genève  
Office des Nations unies à Vienne ONUV Vienne  
Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture FAO Rome  
Fonds international de développement agricole FIDA Rome  
Organisation internationale du travail OIT Genève  
Organisation météorologique mondiale OMM Genève  
Organisation mondiale de la santé OMS Genève  
Organisation mondiale du tourisme OMT Madrid 1975
Organisation des Nations unies pour le développement industriel ONUDI Vienne  
Programme alimentaire mondial PAM Rome  
Programme des Nations unies pour le développement PNUD New York  
Programme des Nations unies pour l'environnement PNUE Nairobi  
Programme des Nations unies pour les établissements humains ONU-Habitat Nairobi  
Organisation des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture UNESCO Paris  

Par ailleurs, le Saint-Siège participe aussi comme État observateur à d'autres organisations internationales comme laCommission internationale de l'état civil (CIEC) (Strasbourg), l'Organisation mondiale du commerce (OMC) (Genève), l'Union latine (UL) (Paris) ou à des organisations régionales : Conseil de l'Europe (Strasbourg), Organisation des États américains (OEA) (Washington)2Union africaine (UA) (Addis-Abeba)[réf. nécessaire].

Enfin, l'État de la Cité du Vatican est également membre d'organisations internationales : Interpol (Lyon), Union internationale des télécommunications (UIT) (Genève), Union postale universelle (UPU) (Berne).

 a ouvert l’Église catholique aux problèmes mondiaux, qui sont sa vocation fondamentale. Elle va pouvoir se libérer de ses préoccupations temporelles, car elle a été longtemps détournée des vrais problèmes qui sont les siens, pour défendre un État (les États pontificaux) qui n’est qu’un moyen. Elle peut enfin opérer un ressourcement nécessaire aux défis qui l’attendent (modernité, etc.) et exercer pleinement un pouvoir indirect sans limite de frontières géographiques. C’est autour de ce pouvoir indirect, ce « temporalisme rénové », susceptible de s’exercer en tous lieux et en tous domaines, que vont se préciser les contours d’une politique chrétienne.

 
Des gardes suisses à Rome.

La diplomatie du Saint-Siège est présente sur la scène internationale depuis mille six cents ans. 

Jean-Paul II s'est inscrit dans cette continuité en amplifiant cette présence.

D'abord par ses voyages, qui sont très nombreux et rassemblent des foules immenses mais aussi par le nombre d'audiences accordées au Vatican à de nombreux chefs d'État et personnalités politiques.

Par ailleurs, l'accroissement des représentations diplomatiques se traduit à la fois par le nombre de pays entretenant des relations avec le Saint-Siège et par celui des nonciatures (180 3 des 193 États membres de l'ONU aujourd'hui contre 84 sur 148 en 1978). Si l'établissement de relations avec Israël en 1994 est l'aboutissement de longues négociations, celles avec la Chine et le Viêt Nam restent à normaliser.

On pourrait distinguer l’action de l’Église motivée par la protection des chrétiens, notamment catholiques, et celle destinée à promouvoir ses valeurs : justice, paix et droits de l’homme.

Trois faces d’un même combat pour le Saint-Siège, qui ne dispose que d’un territoire symbolique et de la plus petite armée du monde : les gardes suisses.

Le Verbe est ainsi le vecteur privilégié de son influence dans les relations internationales.

Protection des intérêts des catholiques et des chrétiens en général

Un des meilleurs exemples de la défense des intérêts catholiques, qui en l’occurrence se confondaient avec la lutte contre une puissance adhérant à une idéologie athée, est l’Ostpolitik.

Déployée sous l'impulsion de Jean XXIII puis de Paul VI, cette diplomatie réaliste du Saint-Siège impliquait de nouer des contacts avec un système communiste qui était apparemment fait pour durer. Devenu pape, Jean-Paul II n'a pas bouleversé ce choix, mais a poursuivi la résistance spirituelle menée quand il était archevêque de Cracovie. Le face-à-face qui l'oppose pendant une dizaine d'années au pouvoir communiste est rythmé par ses voyages successifs enPologne, comme autant de catalyseurs de la crise et de son évolution. En 1981, il reçoit chaleureusement Lech Wałęsaau Vatican. La résistance du pays, encadrée par l'Église et soutenue par le Pape fait échouer pour la première fois une entreprise de normalisation communiste. En 1989, celui qui est encore à la tête de l'Union soviétiqueMikhaïl Gorbatchev, est reçu au Vatican, deux ans avant que ne disparaisse l’Union soviétique. On considère aujourd’hui que la politique menée par le Vatican a sans doute accéléré la déliquescence (une tentative d'assassinat sans doute organisée par le KGB a d’ailleurs blessé le Pape le 13 mai 1981) du régime soviétique de façon substantielle.

Plus tard, avec la dislocation de la Yougoslavie, la ligne de fracture historique entre orthodoxes et catholiques qui traverse les Balkans place la diplomatie vaticane dans une situation difficile. En 1992, le Saint-Siège reconnaît l'indépendance de la Croatie et de la Slovénie, les deux États de tradition catholique de l'ex-Yougoslavie, illustrant une fois de plus la défense des catholiques organisée par le Vatican.

Les nonces ont ainsi une vision planétaire, ils ne protègent pas un territoire, une nation, des intérêts militaires ou stratégiques, mais la liberté de l’Église à exercer sa mission religieuse. Mais depuis plus d’un siècle, l’action de l’Église se veut également en faveur de la paix, du développement et du respect des droits de l'homme.

Dans les faits, les deux logiques se recouvrent souvent. L’accord entre le Saint-Siège et Israël l’illustre : il s’agissait à la fois de la protection des chrétiens, notamment des pèlerins, ainsi que le libre accès aux lieux de pèlerinage, mais aussi de la paix et la sécurité des peuples déchirés par la guerre en général.

Cette promotion des valeurs de l’Église a pris une valeur prépondérante dans la diplomatie vaticane et se doit d’être évoquée plus longuement.

Promotion des valeurs de l’Église

 
Jean-Paul II rencontre G. W. Bush en 2001.

L’activité diplomatique du Saint-Siège surtout depuis le pontificat deJean-Paul II, veut défendre des causes justes, indépendantes de toute nationalité ou religion. Le Saint-Siège se propose moins de résoudre lui-même des problèmes en suspens que d’aider la communauté des hommes à construire un monde plus juste et plus fraternel. Or l’Église veut propager son message au monde entier. Certes d’abord aux fidèles, mais le Saint-Siège entretient maintenant des relations avec tous les gouvernements qui le souhaitent, sans distinction de croyance ni d’idéologie. L’Église s’adresse aussi par dessus les gouvernements et des États. Et il est impossible de contrôler les discours du pape une fois celui-ci invité (Cuba, etc.).

La diplomatie du Saint-Siège a été marquée par les voyages de Jean-Paul II. Ces visites ont-elles directement influencé le cours de l'histoire dans ces États ? Il est difficile de généraliser des situations diverses. Aux Philippines, oùJean-Paul II s'est rendu en 1981, la campagne de résistance passive menée par le cardinal Jaime Sin contre Marcos a poussé à l'exil le dictateur en 1986. À Cuba, en 1998, le pape a clairement réaffirmé son opposition à l'embargo imposé depuis trente-cinq ans par les États-Unis. Que ce soit pour Cuba, mais aussi pour l'Irak ou la Serbie, le Vatican a toujours critiqué les mesures de rétorsion dont les populations sont les premières victimes et qui n'ont pas d'effets politiques rapides.

On peut lire par ailleurs la politique menée par Jean-Paul II par rapport aux droits de l'homme et face aux conflits, le pape dénonçant la course aux armements ou encore prônant le droit d'intervention humanitaire. Les drames de l'Afrique (RwandaSoudan) ont été dénoncés avec vigueur. Quant au Proche-Orient, le pape a tenté d'aider à la recherche de solutions : il a reçu à plusieurs reprises les responsables politiques israéliens et palestiniens (Arafat,Peres), tandis que le Saint-Siège a plaidé à propos de Jérusalem et de ses lieux saints pour un « statut spécial internationalement garanti ».

Les messages adressés par Jean-Paul II à l'occasion de visites - de la tribune de l'ONU, de l'UNESCO ou encore duParlement européen - ont eu un retentissement réel. Quant aux délégations du Saint-Siège aux conférences internationales, elles ne sont pas restées sans effet, on l'a constaté notamment lors des conférences sur la population et le développement au Caire en 1994 et à Pékin en 1995 sur les femmes où ont été exposées ses positions, notamment sur l’avortement.. Soucieuse que l'Homme, y compris dans sa dimension spirituelle, soit toujours pris en considération, l'Église estime que sa voix doit être entendue là où de grandes options modèlent les formes de vie sociale et de coopération économique et culturelle.

Le Vatican joue également souvent les bons offices pour trouver des règlements pacifiques aux situations conflictuelles, dans une optique très chrétienne de défense de la paix dans le monde. Il y eut ainsi intervention au plus haut niveau de Jean XXIII dans la crise des missiles de Cuba en 1962. De même, le Vatican est parvenu à désamorcer le conflit entre le Chili et l’Argentine à propos du canal de Beagle en 1985.

Plus proche de nous, au cours de la crise internationale précédent l’invasion de l’Irak, le Vatican a joué un rôle qui rappelle celui joué pendant la crise des missiles de Cuba, lorsqu'il se fit le médiateur entre le Kremlin et la Maison Blanche. Le vice-Premier ministre irakien, Tarek Aziz, a rencontré le pape Jean-Paul II à Rome et, peu après, l'envoyé spécial du pape eut un longue entrevue avec Saddam Hussein à Bagdad. La diplomatie du Saint Siège était coordonnée avec l'initiative de la France, de l'Allemagne, de la Russie et de la Chine aux Nations unies. Le pape a en effet été le premier à être mis au courant de la proposition franco-allemande, lors de sa rencontre avec le ministre allemand des Affaires étrangères. Sur le front adverse, l'ambassadeur américain au Vatican, Jim Nicholson, invita àRome Michael Novak, un théologien néo-conservateur américain, afin qu'il démontre que la doctrine de « guerre préventive » est cohérente avec la doctrine traditionnelle de guerre juste de l'Église. Et Novak fut reçu en audience par le secrétaire d'État.

De façon générale, le Saint-Siège est en faveur d’une organisation stable et permanente des rapports internationaux, grâce à un réseau d’institutions habilitées à prévenir et à traiter les conflits. Il utilise pour cela cette magistrature d’influence qui fait toute sa puissance. Un des objectifs du Saint-Siège a toujours été qu’il existe une communauté des nations, d’où son acharnement à défendre le droit international et la charte de l’ONU.

Bien sûr, le face-à-face avec les États oblige à des équilibres précaires et délicats. Où s’arrête la pression morale et commence l’immixtion dans les affaires intérieures de l’État, quand les autorités religieuses locales, sans être désavouées par le Saint-Siège, réclament un changement de régime par la voie démocratique en CoréeHaïti ou auxPhilippines ? La prudence évidemment est de mise…

Mais c’est bien une vision totale du monde que l’Église propose, qu’elle s’emploie à promouvoir grâce à son exceptionnelle autorité spirituelle et morale.

Protection de l'environnement

Le Vatican s'implique dans la protection de l'environnement et soutient l'émergence d'une conscience écologique. Ainsi,Benoît XVI, à l'occasion de la journée mondiale de la paix du 1er janvier 2007, s'est exprimé en ces termes : « Face à la dégradation de l'environnement, l'humanité réalise qu'elle ne peut plus continuer à user des ressources de la Terre comme par le passé. C'est ainsi que se forme une conscience écologique qui doit être encouragée de façon à développer des projets et des initiatives concrètes. »

Récemment, le Vatican a affiché sa volonté d'être le premier des États d'Europe à remplir l'objectif, fixé par l'Union européenne, consistant à consacrer aux énergies renouvelables une part de 20 % de sa consommation totale. Pour ce faire, il va équiper le toit du bâtiment Paul-VI de panneaux photo-voltaïques sur une surface de 5 000 m² et envisage l'installation du procédé dit du solar cooling (ou refroidissement solaire) dans son réfectoire (Le Monde du 4 septembre 2008).

Promotion de la paix

L'élection du pape François, début 2013, a donné lieu a un « retour de la diplomatie vaticane ». Le nouveau souverain pontife a en effet pris plusieurs positions en faveur de la paix, que ce soit lors de la guerre civile syrienne, où il a écrit au président du G20 Vladimir Poutine, ou en mai 2014, lorsqu'il a invité les présidents israélien et palestinien à prier ensemble au Vatican, dans un contexte de tension en ce qui concerne la résolution du conflit territorial au Proche-Orient4.

Quelques événements récents

Pontificat de Paul VI

  • 4 octobre 1965 : Discours du pape Paul VI devant l'assemblée générale de l'ONU à New York pour le 20eanniversaire de l'Organisation. Le Saint-Siège exprime ainsi solennellement sa confiance en cette institution5. Le pape Paul VI s'exclame alors : "Jamais plus la guerre !"6

Pontificat de Jean-Paul II

 
Le pape Jean-Paul II reçoit le Président des États-Unis Ronald Reagan le 7 juin 1982.

Pontificat de Benoît XVI

 
Le pape Benoît XVI reçoit le Président russe Vladimir Poutine le 13 mars 2007.

Pontificat de François

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LE "MON VICAIRE" LE PONTIFE ROMAIN à L'ONU: LE CHRIST SUR TERRE : LE PAPE : IL EST LE SEUL SUR TERRE à JOUIR DU DON D'INFAILLIBILITé! : FILS D'ADAM

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Statue de Vierge

Il est le seul sur la terre qui, lorsqu'il parle à l’Église et au monde en tant que mon Vicaire, jouisse du don d'infaillibilité ! 

Message d'une âme du purgatoire à Mgr Ottavio Michelini - 9 décembre1978
Extrait du livre "Confidences de Jésus à ses prêtres et à ses fidèles, Éditions du Parvis

Écris, mon fils, Je suis Jésus.

Il y a au milieu du monde, une Chaire splendide et lumineuse et sur cette chaire siège un homme semblable aux autres, et pourtant différent de tous les autres. 
C'est le Christ sur la terre. mon Vicaire, le Pontife romain. Il est le seul sur la terre qui, lorsqu'il parle à I'Église et au monde 
en tant que mon Vicaire, 
jouisse du don d'infaillibilité !

Cela aussi est un trésor inestimable, de sorte que personne ne doit être dans la hantise de se perdre dans le labyrinthe des erreurs et des hérésies qui ouvrent la route de la perdition, parce que lui. le maître qui me remplace sur la terre, 
peut dire avec une assurance absolue aux errants et aux égarés, à ceux qui sont dans l'incertitude et le doute: «La Voie à suivre est la Voie que je vous indique; en la suivant, vous ne vous perdrez jamais.» 

Cet homme qui est sur la chaire de Pierre peut donc, avec la Vérité, procurer aussi aux hommes de bonne volonté, la paix, l’assurance et la sérénité.

De la part de nombreux ennemis, intérieurs et extérieurs, par une terrible érosion toujours en cours, il y a eu une tentative de détruire le dogme de l’infaillibilité du Pontife romain lorsque, en sa qualité de mon Vicaire, il parle de foi et de morale à toutes les nations. .. Mais leur action trouble n'aboutira a rien !

Ce dogme est, demeure et demeurera dans la vie de mon Église une splendide perle qui lui donnera un éclat tout particulier et extraordinaire, spécialement après la purification. 
A ce don participent tous les évêques qui vivent en communion de foi et d'amour avec mon Vicaire et oeuvrent avec lui, en unité d'intention, pour le bien commun de mon Église. 
Les évêques qui ne sont pas unis à mon Vicaire ne jouissent pas de ce merveilleux trésor.

Voici que dans le monde, obscurci par les ténèbres engendrées par l’orgueil. existe une chaire unique comme phare de lumière et de vérité. capable de montrerà tous le chemin sûr de l'éternel salut...
Mais les hommes, aujourd’hui plongés dans la matérialité, ne savent et ne peuvent comprendre l"Amotir miséricordieux du Père qui les aime tant.

Qui prend soin, mon fils, d’expliquer aux hommes ces manifestations de l‘Amour de Dieu à leur égard‘? Si personne ne parle des choses nécessaires à la formation des consciences chrétiennes, comment celles-ci pourront-elles se former ?

Chaire de Vérité et la Vérité est lumière, mais les hommes d’aujourd’hui. sont ténèbres... Comment peuvent-il donc désirer rechercher et aimer la Vérité ?

On fait des recherches sur tout, on parle de tout, excepté de la Vérité, et, distrait comme le procurateur romani Ponce Pilate, on demande: «Quid est veritas ?» Mais on n'attend pas la réponse, dans la vague crainte de la connaître !

Je t'ai dit que la vérité est l'antithèse de l’erreur, comme les ténèbres sont l'antithèse de la lumière, comme l’amour est l'antithèse de la haine ! Or, étant donné que la vérité et l'erreur ont des sources opposées et contraires, on a l'explication de la lutte qui ne change pas ni ne changera jamais. 

En effet, Dieu, transparence infinie. parce que Vérité infinie, et les puissances obscures de l'enfer, parce que obscurité et erreur, sont en lutte perpétuelle jusqu'à la fin des temps.

Les scribes, les pharisiens et les prêtres du Temple ont toujours contesté mes vérités; ils les ont constamment haïes et combattues par tous les moyens,
parce qu’ils étaient ténèbres,c'est-à-dire orgueil qui signifie haine implacable,laquelle se donna libre cours sur le Calvaire.
Mon fils. tu sais qu’encore actuellement il n’y a rien de changé et que la "synagogue" continue son oeuvre, avec les mêmes insidieux moyens et les mêmes buts qu’avait l’Église hébraïque aux temps de ma vie terrestre !

La Vérité est Dieu qui se manifeste à vous par ma Parole,
c’est-à-dire la Révélation, garantie par l'infaillibilité du Pontife romain et des évêques en communion avec lui. 
L’hérésie, l’erreur et l'obscurité sont le produit de Satan,
lequel en rend largement participants ses adeptes, qui ne voient pas autre chose que leur «moi».

Oh, fils, dans mon Eglise, il y en a déjà qui ont payé la vérité de leur vie, comme Moi Je la payai de la mienne... comme mes Apôtres la payèrent de la leur... et comme tant d’autres aujourd’hui continuent à payer de même! 
Rien ne peut changer, parce que ne peuvent changer les éléments de cette lutte: transparence, lumière et amour d’une part, obscurité, erreur et haine de l’autre.

Mais, ne craignez pas, car Moi, Vérité, Je suis au milieu de vous, et si Moi Je suis avec vous, qui pourra quelque chose contre vous?

A présent, cela suffit, mon fils; tu es fatigué; comme toujours Je te bénis et avec Moi te bénissent le Père et l’Esprit-Saint; avec Nous te bénissent ma Mère et saint Joseph.
 
 
Il est clair que tôt ou tard le démon va s'assoir sur le trône de Saint-Pierre, puisque des prophéties reconnues par l'église l'ont annoncées, notamment les messages de la Salette (1846) "Rome perdra la foi et deviendra le siège de l'antéchrist." 

 

COMMENTAIRES PERSONNELS :

LE SOUFFLE DU DRAGON ET LE SOUFFLE DE LA BÊTE, SOUFFLENT SUR TOUTE PERSONNE QUI SONT à LEURS PROXIMITéS, 

"SON VICAIRE" ET TOUT SON ENTOURAGE ONT LE SOUFFLE !

ET LE REçOIVENT TOUS CEUX QUI LES APPROCHENT ! LES ENDROITS Où ILS SONT PRéSENTS !

ET TOUS CEUX QUI SONT SANS LE SCEAU SACRé ET AVEC DE GRANDS PéCHéS, REçOIVENT EUX AUSSI LE SOUFFLE DU DRAGON ET LE SOUFFLE DE LA BÊTE !

LE SOUFFLE SE PROPAGE à TRAVERS LES ÂMES DES PERSONNES IMPIES !

TOUTES LES PERSONNES REBELLES AUX SIGNES DE LEUR SEIGNEUR, TOUTES LES PERSONNES QUI N'ONT PAS VOULU OBéIR à LA VOIX DE YAHWEH EN SION !

ET DERRIèRE LES APPARENCES D'AMOUR, DE PAIX, ET DE DIALOGUES MIELLEUX, ILS SOUFFLENT SUR LES HOMMES ! SUR LES HOMMES INFLUENTS ET DéCIDEURS DE NOTRE TERRE !

ILS SONT SOUS L'EMPRISE DU SOUFFLE !!!

A PARTIR DE L'AN 1200 DE NOTRE ERE, AVEC LE PACTE DE SANG DE ALACOQUE ET DU CHRIST DU SACRé COEUR ET DE LA MARIE DU SACRé COEUR,

L'HUMANITé PAR LE SOUFFLE DU DIABLE, COMMENçA à S'EMPARER DES ÂMES DES PERSONNES QUI ETAIENT AUPRèS DE CELLES QUI AVAIENT REçU LE SOUFFLE, ET CE SOUFFLE SE PROPAGEAIT D'UNE PERSONNE à L'AUTRE !

MÊME PAR LEURS LIVRES, LEURS MUSIQUES, LEURS ETABLISSEMENTS !

ET SONT VENUS LES FAMINES, LES PESTES, LES EPIDéMIES, LES GUERRES DES CROISADES, LA SAINTE INQUISITION, BRÛLER LES HOMMES SUR LES BÛCHERS, ET TOUTES LES TORTURES DIGNES DU DIABLE ET DE SON SOUFFLE,

AU MOYEN-ÂGE, UN GENRE D'ESCLAVAGES POUR LES HOMMES, LES FEMMES ET LES ENFANTS : L'EPOQUE DES SEIGNEURS ET DES CERFS !!! LA SERVITUDE !

LES 2 GUERRES MONDIALES AVEC LES FOURS CRéMATOIRES ET LES TORTURES DIABOLIQUES SUR LES HOMMES, LES FEMMES ET LES ENFANTS ! LES HOMMES ETAIENT TRAITéS COMME DU BéTAIL ! ET PIRE QUE CELA, TOUTES LES HORREURS DIABOLIQUES !

ET LE DIABLE S'EN PRENAIT PLUS PARTICULIèREMENT AU PEUPLE JUIF, CAR IL SAVAIT QUE C'ETAIT LE PEUPLE DE YAHWEH QUI DEVAIT ÊTRE RASSEMBLé à LA FIN DES TEMPS : LA LAMPE DES NATIONS !

N'OUBLIEZ JAMAIS QUE C'EST CONQUéRIR LES ÂMES DES HOMMES POUR LES SERVIR ET LES DéTOURNER DE YAHWEH ET DE L'HERITAGE DE LA TERRE, QUE YAHWEH A PRéVU POUR LES HOMMES, CAR ILS VONT ÊTRE ENCHAÎNéS !

ET LES PROBLèMES QUE NOUS CONNAISSONS AUJOURD'HUI SUR TERRE à TOUS LES NIVEAUX !!!!

PAR LE SOUFFLE DU DRAGON ET DE LA BÊTE, ILS ONT ENVAHI à TRAVERS LES PERSONNES QUI REçOIVENT LE SOUFFLE TOUTE LA TERRE !

TOUTES LES INSTITUTIONS SONT TOUCHéES, COMME NOUS POUVONS LE CONSTATER !

LE "CHRIST" QUI LE REPRéSENTE ET SES FIDèLES SONT PARTOUT, DANS TOUTES LES INSTITUTIONS ET à TOUS LES NIVEAUX  !!!

TANT LES RESPONSABLES DES PAYS, TANT LES RESPONSABLES RELIGIEUX, TANT LES INSTITUTIONS QUI DéCIDENT POUR NOTRE FUTUR ET NOTRE DESTINéE à TOUS LES NIVEAUX !!!

LES HOMMES SONT SOUS L'EMPRISE DU SOUFFLE !!!

LES HOMMES SONT VICTIMES DU SOUFFLE DU DRAGON ET DU SOUFFLE DE LA BÊTE !

LE FLEUVE DU DRAGON !!! C'EST UN FLEUVE QUE LA BÊTE SOUFFLE APRèS LES DESCENDANTS DE LA FEMME !!!

C'EST DéJà TROP TARD POUR LE DRAGON ET SES BÊTES ET SES DéMONS, CAR J'AI DéJà DEMANDé LES NATIONS à YAHWEH POUR LES SORTIR DES TéNèBRES ET LES CONDUIRE à LA LUMIèRE DE YAHWEH, PAR LE DéCRET DE YAHWEH !

CELA SIGNIFIE QUE DE TOUTES FAçONS, ILS SERONT ENCHAÎNéS ! MAIS, ILS ESSAIENT DE DéTOURNER DE LEUR HéRITAGE UN MAXIMUM D'ÂMES ET LES ENTRAÎNER DANS LEURS CHUTES !

CAR ILS SAVENT QU'IL NE RESTE PLUS BEAUCOUP DE TEMPS, ILS VONT ÊTRE ENCHAÎNéS, ILS SE DéMÊNENT COMME DES DIABLES à L'ENCONTRE DES HOMMES !

LES NATIONS VONT LEUR ÊTRE RETIRéES ! LE TEMPS DE LA MOISSON EST Là !

 

 

SUITE !  http://empireaugrandroiyahweh.e-monsite.com/pages/et-quand-l-agneau-eut-ouvert-le-7eme-sceau-silence-d-une-demi-heure-et-le-sanctuaire-rempli-de-fumee-par-la-gloire-de-yahweh-et-par-sa-puissance/le-double-souffle-de-vie-de-l-agneau-yahweh-a-prevu-le-doubble-souffle-de-vie-de-l-agneau-pour-liberer-les-hommes.html

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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